dimanche 19 février 2017

Chronique Ensemble de Sissie Roy




Pour ma première chronique, j'ai décidé de vous parler d'Ensemble de Sissie Roy.

La première scène du roman donne d’emblée le ton de l’histoire. On retrouve Abélia, jeune femme trahie par son fiancé, dans un avion qui la conduira bien loin de ses vieux démons.
Abby décide de partir retrouver son frère Mat, qu’elle n’a pas vu depuis sa plus tendre enfance, à Los Angeles. 

Une nouvelle ville pour une nouvelle vie… 

C’est sans compter l’insupportable co-locataire et meilleur ami de Mat, Brian.

Que dire à part que je suis tombée amoureuse de Brian ? Le bad boy par excellence, tatoué, percé, au tempérament de feu. Mais Brian est bien plus que ça, on sent qu’il n’a pas été épargné par la vie même si l’auteure ne nous donne pas beaucoup de réponses dans ce premier tome, j’ai hâte d’en apprendre plus sur lui. 

J’ai été un peu moins touchée par Abélia, malgré ses blessures profondes, je n’ai pas aimé certaines de ses réactions. J’attends de voir si le personnage va évoluer dans les prochains tomes. 

Les personnages secondaires ont une place très importante dans l’histoire, j’ai adoré Harper, la belle soeur dont tout le monde rêve et j’ai détesté Sam dès la première rencontre… On sent tout de suite que quelque chose cloche avec ce garçon.

L’écriture de Sissie est fluide, sans chichi. J’ai beaucoup ri, certaines répliques sont vraiment extras ! 
J’ai lu ce roman en quelques jours, il est addictif, on ne veut plus s’arrêter avant de connaitre la fin. 
Je n’ai qu’une hâte, c’est de lire le tome suivant !
En résumé, foncez. 
Voici quelques citations de cette perle :

"— Que fais-tu Abby ? me demande t'il avec une colère évidente que je ne comprends pas, mais au final est-ce que je comprendrais un jour ce mec ?
— Je suis ton conseil, je m'habille.
— Avec Jimmy ?
— Ah non, j'ai l'intention de m'habiller toute seule."

"— Ce n'est pas grave, Abby, tu me maltraites depuis le début.
— Euh non, c'est toi qui m'as agressée avec mes valises roses.
— Allez Abby ! Avoue que ça fait pas mal fille, tes valises.
— Brian, j'ai quelque chose à te dire.
— Vas-y Abby.
— Au cas où tu ne l'as pas remarqué, je suis une fille."

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